1. Planaire blanche
(Prostheceraeus vittatus).
Ce ver ne dépasse pas 5
cm de long, pour 1 mm d’épaisseur. La plaire ressemble aux nudibranches
(limaces de mer). A t-elle choisit ce mimétisme pour se protéger, les
nudibranches étant immangeable pour les poissons ?
2.
Crevette pricliménès
(Periclimenes sagittifer)
Bien protégée par les
tentacules de l’anémone, le petit crustacé vit en association avec cette
dernière.
3.
Araignée de l'anémone
(Inachus philangium ou sp.)
Elle vit en symbiose avec
l’anémone entre les tentacules de laquelle elle se réfugie. Elle se
camoufle aussi avec des algues ou des éponges qu’elle bouture sur sa carapace.
Pour compléter sa protection, elle se frotte à l’anémone pour s’imprégner de
son odeur et ainsi repousser les prédateurs.
4.
Galathée multicolore
(Galathra strigosa)
C’est un décapode assez
bizarre qui est le lien entre les crustacés à corps long comme la crevette et
ceux à corps court comme les crabes. La galathée est la plus grande espèce de
galathée et l’un des plus beaux crustacés avec son corps rouge orné de rayures
et de pois bleu vif. Elle peut atteindre 12 cm.
Les limaces de mer
Ce sont des
mollusques Gastéropodes.
Ces neuf
spécimens sont des «nudibranches». Leur corps se compose d’un manteau supporté par un
pied qui permet le déplacement. La tête est pourvue d’antennes leur permettant
la recherche
des proies et des partenaires sexuels (par
détection), et de tentacules bucaux permettant d’appréhender
la nature du terrain et celle des proies (par
toucher). Les yeux sont inclus profondément dans le tissu
cutané. Ce sont des
organes rudimentaires qui détectent seulement
les variations lumineuses.
La respiration s’effectue de différentes manières : essentiellement
tégumentaire, complétée parfois par des branchies, des lamelles ventrales, des
plumes, des
«cerata». Le système digestif débute par la bouche dans laquelle, une
langue râpeuse, «la radula» implantée de rangées de dents, se saisit de proies. Les
aliments sont alors orientés vers l’œsophage.
Certaines
familles n’ont pas de dents, mais utilisent des enzymes salivaires qui
prédigèrent la proie. Ensuite le mollusque pompera cette bouillie. Ils se
nourrissent d’éponges, de bryozoaires, d’hydraires qui sont des animaux fixés.
L’accouplement : les limaces de mer sont
hermaphrodites. Elles possèdent des organes sexuels mâle et femelle
simultanément fertiles. Cependant
l’autofécondation n’est pas pratiquée. C’est lors de la rencontre d’un
partenaire sexuel que les deux spécimens se fécondent mutuellement et émettent
ensuite des œufs (parfois des centaines, voire des milliers et même des
millions. Espérance de vie : annuelle, parfois biannuelle selon
les espèces. Les moyens de défense sont assez limités, mais cependant très
efficaces. L’un des plus fréquents est le pouvoir mimétique. Parfois ils
ingèrent des cellules urticantes.
Ceci semble éloigner les prédateurs éventuels.